Ah, j'aimerai écouter la musique sur ce poème... qui est d'Apollinaire, je crois ?
A chaque jour sa feuille morte Sur la nappe des verres en moins Un souffle tiède vous emporte D'un air grinçant dans le lointain
Ah Pépé, là, je parle de mon grand-père ! Ah Pépère, l'emphysème et ses chansons ! Ah grand-père, le vin, le plâtre et la vie !
Putain de dieu, P.P. Le Moqueur a réussi à me faire recueillir sur mon grand-père, moi qui ne suis pas fortiche pour les cérémonies, même solitaires, quand elle concernent les morts. Quel pouvoir ce P.P. !
Soyez à la fois léger-léger mais soutenu-soutenu dans vos commentaires. Légers-légers, soutenus-soutenus, compris, okay, capito bene, entendu, d'ac', assurément, oui, soit, lu et approuvé, j'ai votre acquiescement, conformément, selon ce protocole, en toute symétrie, avec votre assentiment, comme convenu, à l'unanimité, à l'unisson ? Bon, ça roule !
L'adieu du cavalier
RépondreSupprimerAh Dieu ! que la guerre est jolie
Avec ses chants ses longs loisirs
Cette bague je l'ai polie
Le vent se mêle à vos soupirs
Adieu ! voici le boute-selle
Il disparut dans un tournant
Et mourut là-bas tandis qu'elle
Riait au destin surprenant
poème mis en musique par Germaine Tailleferre dès qu'elle apprit la mort de son ami Poulenc...
Bizarre , non ?
Ah, j'aimerai écouter la musique sur ce poème... qui est d'Apollinaire, je crois ?
RépondreSupprimerA chaque jour sa feuille morte
Sur la nappe des verres en moins
Un souffle tiède vous emporte
D'un air grinçant dans le lointain
Ah Pépé, là, je parle de mon grand-père !
Ah Pépère, l'emphysème et ses chansons !
Ah grand-père, le vin, le plâtre et la vie !
Putain de dieu, P.P. Le Moqueur a réussi à me faire recueillir sur mon grand-père, moi qui ne suis pas fortiche pour les cérémonies, même solitaires, quand elle concernent les morts.
Quel pouvoir ce P.P. !