jeudi 30 juin 2011

MUSIQUE SACREE

 MUSIQUE SACREE
Un employé virtuose du conservatoire municipal d'Agen joue... des poings !
Contre le premier indignitaire de la République, qui, mélomane non averti, n'apprécie pas...
Six mois avec sursis.

samedi 18 juin 2011

AVOIR & ETRE

J’aime bien le care, idée d’un projet socialiste de Martine Aubry. Le mot est certes maladroit. Prendre soin des autres aurait été plus explicite comme projet de vie ensemble. C’est la raison pour laquelle je dis : j’aime bien, bien atténuant mon exaltation  pour cette idée. Pour deux raisons : parce que l’utilisation de l’anglais ravale l’idée à un concept, ce qui me déplait, et parce qu’économiquement et politiquement il n’est pas sûr que Martine Aubry soit bien organisée, pour mettre en œuvre son idée. A voir.

Bien entendu ça a l’air désuet de bien aimer une idée, ça fait ringard. Pas très mode les idées ! Mais le bien des autres me touche et par ricochet me concerne. Le bien des autres, le bien commun, le bien public. La République, peut-être bien que : oui-da !
Vouloir le bien des autres. Cette phrase est à double sens. Elle peut signifier soit convoiter le bien d’autrui, soit souhaiter que les autres aillent mieux. Selon que le bien d’autrui constitue ses avoirs ou qu’il s’agit de prêter son attention à l’autre, voir comment il va, comment il est. Avoir dans un sens et être, bien-être mal-être, dans l’autre.

Je travaille avec des enfants handicapés dont certains viennent de milieux pauvres sur plusieurs plans, financier, social, etc. Avec aussi parfois des écarts culturels à la norme importants et souvent en leur défaveur. Le médecin pédopsychiatre de l’établissement dit d’un enfant : ce serait (être) bien qu’il soit (être) mieux dans sa peau, qu’il s’autorise à être (être) un enfant. Bon. Silence. Une éducatrice pense qu’avant d’être, certains enfants devraient AVOIR. Elle remarque qu’ils n’ont (avoir) même pas un ballon pour jouer au foot dans la cour. Comment pourraient-ils être…footballeurs ?! Ne serait-ce pas du matérialisme dialectique ça ?! Ô mauvais esprit !
J’ajouterai qu’ils n’ont pas de soutien thérapeutique, de soins psychiatriques quand ils le nécessitent, et peu ou pas d’orthophonie, de psychomotricité, etc. Surcharger le handicap quoi.

petites blagues qui peuvent faire rire

 Etre au bout du rouleau : Situation très peu confortable, surtout quand on est aux toilettes.
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Facebook : Le seul endroit où tu parles à un mur sans être ridicule.
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Oui-Oui : Fils illégitime de Sissi.
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GPS : Seule femme que les hommes écoutent pour trouver leur chemin.
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Autobus : Véhicule qui roule deux fois plus vite quand on court après que quand on est assis dedans.
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Taser : Instrument utilisé afin de mieux faire passer le courant entre la police et la jeunesse.
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Porte-clefs : Invention très pratique qui permet de perdre toutes ses clefs d'un coup au lieu de les perdre une par une.
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Etat : Système mafieux le mieux organisé de tous les temps.
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Cravate : Accessoire servant à indiquer la direction du cerveau de l'homme.
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Le coiffeur : Seul endroit où les Bleus peuvent espérer une coupe.
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Voiture : Invention ingénieuse, permettant de contenir 110 chevaux dans le moteur et un âne au volant.
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Parents : Deux personnes qui t'apprennent à marcher et à parler pour ensuite te dire de t'asseoir et de fermer ta gueule.
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Orteil : Appendice servant a détecter les coins de portes.
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Egalité des sexes : Nouveau concept créé par les hommes pour ne plus payer le restaurant.

mardi 14 juin 2011

BAL TRAGIQUE A ROLAND GARROS

L'effet d'un papillon rebondissant sur une raquette de tenis pourrait faire disparaitre cette très belle fontaine sise dans les jardins des Serres d'Auteuil...

mardi 7 juin 2011



FEMININ & MASULIN



PEINE & PAIN






Peine perdue, oui, apparament, c’est en pure perte que les femmes jouent souvent, mais à force de peines perdues, l’accumulation finit par entraver le cours des choses ! Peine perdue, nourriture des femmes, puissance insistante de la vie.
Le masculin de peine perdue est pain perdu. Ha ce bon pain perdu qui dore au fourneau sur le fond de métal d’une poêle à fr’rire !


Ouais