vendredi 23 décembre 2011

ROYAL DE LUXE MACHINES NANTES

 LE CALAMAR
 LA COQUE DE NOIX OCCUPEE
 MACHINE A PINCER LA PATTE AUX HOMARDS
 LA TORTUE ASSOIFEE
 L'AVION-PRISONNIER
 LE CHEVAL RIEUR
 LE COQUILLAGE
 LE GENTIL POISSON
 LE LENT NAUTILE
 LE MONSTRE DU LOCH NESS
 LE POISSON ROUGE
 L'ELEPHANT TRISTE
 LES POISSONS VOLANTS TIREURS DE COQUILLES

LES PLANS SECRETS MACHINES NANTES

 LA MUSIQUE
 L'ADAM DE NANTES
 LADY DE NANTES OFFERTE
 LE CERVEAU LENT

dimanche 11 décembre 2011

SABINE WEISS A LA LIBRAIRIE GUTENBERG, ISSY.






L'IMMEUBLE-BIBLIOTHEQUE

ETRE PAYE

EN BERLINGOS, SONT DURS LES DEBUTS D'ARTISTES

NANTES ROYAL DE LUXE


LES BELLES MAISONS DES NEGRIERS

LES REVOLTES LOGIQUES






Rue Constant-Clément-Berthaut, le conseiller socialiste de Belleville : Messieurs, ne chassons pas de Paris les industriels ; il n'ya déjà pas tant d'ouvrage. 
Il n'y en a pas assez, il n'y en aura jamais trop. ...

Un farouche partisan de la régie directe, le socialiste Constant- Clément Berthaut propose même ironiquement que ce soit la Compagnie des eaux qui paye une redevance à la ville de Paris pour la remercier de la publicité qu'elle retire du traité...

Constant - Clément - Aubin Berthaut, né le Ier mars 1847, à Crécy-sur-Serre (Aisne), facteur ce pianos. Combattit l'Empire, fit partie de la garde nationale pendant le siège et devint un combattant de la Commune des plus résolus. ...

Editeur: [s.n.] (Paris)
...qu'en 1900. Conseiller sortant, M. Constant-ClémenT Berthaut, né à Crécy-sur-Serre (Aisne) le 1" mars 1847, facteur de pianos, socialiste révolutionnaire,...(Crécy-sur-Serre (Aisne) - 1847)

samedi 10 décembre 2011

LA MACHINE à DONNER DES PAIRES DE CLAQUES, UNE PAR UNE, LES CLAQU

 Il suffit de bien regarder dans le trou-la-i-tou...                                                                                                                                                                        et PIf et PAf !

LE MECANISME INTERIEUR ETANT ABSOLUMENT, IRRESOLUMENT, INCROYABLEMENT ET MEME TOTALEMENT DIAVOLICKQUE.

vendredi 2 décembre 2011

RUE DU SOLEIL

PARIS XXème ARRONDISSEMENT
Un éclat, des reflets et une flaque de soleil sur le trottoir de la rue du Soleil à Belleville.
Y A DU SOLEIL ! 
Y A DU SOLEIL !
Y A DU SOLEIL ! 

mercredi 30 novembre 2011

DE MORT NATURELLE

PETITS ARRANGEMENTS AVEC LES  ASSASSINS 
ENTRE L'EGLISE, L'ECOLE, LA GENDARMERIE 
ET LA POMPE A ESSENCE.

C'est bizarre de Brest à Vladivostock et ailleurs aussi, c'est bizarre les formes que prennent les normes... Sont bizarres les gens, énormes, vraiment énormes, hors norme et pourtant bizarres, qui sont ces gens là, qu'est-ce qui z'ont, qu'est-ce qu'ils veulent les veules, qu'est-ce qu'elles veulent,  nous  toutes chacunes bizarres et meurtrières sur les bords, ça mort la meute, la meute c'est bizarre, ça tue bizarrement. Le crime était presque parfait, ça c'était dans un autre film, comme la scène de chasse en Bavière, mais ici en vrai,  le crime  est parfais plus-que-parfait, sans  assassin mis à part un ou deux regards assassins, c'est insensé pas d'inculpée et un mort, c'est bizarre la mort quand elle est tant naturelle qu'on ne peut plus  l'entendre, et le mort il était bizarre, maintenant il est un peu moins bizarre, mais avant, oui, qui sont ceux-là-celles-là ici et là  qui, bon, c'est extrêmement bizarre  ça finit comme dans les Bizardos au bazar d'os, bizarre ce bruit et rien que du silence autour. J'entends quelqu'un qui pense tout haut : c'est bizarre, d'ailleurs c'est tellement bizarre de penser haut, très bizarre, inouï, oui!
C'est beau le linge sale, c'est beau quand on le lave en famille avec les anges du bizarre, les Anches dé Bèssare, oh.
Pendant ce temps une collègue me dit : des parents on mis leur gosse dans un sèche linge et là encore c'est bizarre mais il paraît qu'il est mort, Tibus. Je n'y crois pas.
Oscar W. disait plus ou moins, presque ceci : la vie ne serait pas complète et aboutie sans la mort. 
C'était un drôle de type ce mec là, vraiment Bizzzzzz !

mardi 29 novembre 2011

LE BAR A SOURIRES

Le "Bar à Sourires" vous fait les dents en beiges, en jaunes, grises ou noires, en demi-deuil, en tons et demi-teintes, à la demande, sur nuancier, et ce :
 POUR presque RIEN du TOUT & Pas Très Cher  
Grâce à l'usage immodéré du thé, du café, du tabac, du vin rouge, de l'acide citrique, de la suie, etc.
LE PAYS DU SOURIRE

dimanche 27 novembre 2011

Manuscrit trouvé : 23 AV JESUS-CHRIST, 75012 PARIS

ADRESSE AU DESTIN   
LA PEUR DU SEIN DES SEINS
DU DERNIER JOUR 
DE LA DERNIERE SEMAINE 
DE LA DERNIERE ANNEE 
DE LA DERNIERE DECENIE
DU DERNIER SIECLE 
DE L'ANTEPENULTIEME MILLENAIRE
ALORS QU'IL  RESTE TANT A VIVRE 

Sans les pouces...

Difficile de se les tourner 


 Manque de chance !

samedi 26 novembre 2011

ON A LES MORTS QU'ON PEUT

 "Mimie" a disparu il y a deux jours, rue de la Palestine, près du M° Jourdain ; depuis quelques temps on ne la voyait plus sortir la tête de l'amas des couvertures. Elle qui se levait si promptement face aux contrôles policiers, droite dans ses bottes, mais oscillante comme un pendule, le regard droit, presque au garde-à-vous, poli, haut, ironique et bienveillant. Faire face, demander une cigarette, essuyer un refus l'air de dire : le pauvre, il n'a rien à fumer... Et cette tristesse impossible sur la peau du visage, ces larmes de sel déssalées, ces douces vagues amères dans le regard. Nombreux sommes-nous à avoir rêvé un destin moins douloureux pour elle... Elle nous faisait vivre, imaginer et réfléchir...
C'est parfois chiant la vie, surtout vers la fin.