ALLEZ LES TURCS !
lundi 26 décembre 2011
vendredi 23 décembre 2011
ROYAL DE LUXE MACHINES NANTES
LE CALAMAR
LA COQUE DE NOIX OCCUPEE
MACHINE A PINCER LA PATTE AUX HOMARDS
LA TORTUE ASSOIFEE
L'AVION-PRISONNIER
LE CHEVAL RIEUR
LE COQUILLAGE
LE GENTIL POISSON
LE LENT NAUTILE
LE MONSTRE DU LOCH NESS
LE POISSON ROUGE
L'ELEPHANT TRISTE
LES POISSONS VOLANTS TIREURS DE COQUILLES
LES PLANS SECRETS MACHINES NANTES
LA MUSIQUE
L'ADAM DE NANTES
LADY DE NANTES OFFERTE
LE CERVEAU LENT
lundi 19 décembre 2011
... à l'approche des fêtes de fin d'année,
les dindes fermières de Loué ont la chair de poule...
http://france.meteofrance.com/france/meteo?PREVISIONS_PORTLET.path=previsionsville/750560
les dindes fermières de Loué ont la chair de poule...
http://france.meteofrance.com/france/meteo?PREVISIONS_PORTLET.path=previsionsville/750560
dimanche 11 décembre 2011
LES REVOLTES LOGIQUES
Rue Constant-Clément-Berthaut, le conseiller socialiste de Belleville : Messieurs, ne chassons pas de Paris les industriels ; il n'ya déjà pas tant d'ouvrage.
Il n'y en a pas assez, il n'y en aura jamais trop. ...
Un farouche partisan de la régie directe, le socialiste Constant- Clément Berthaut propose même ironiquement que ce soit la Compagnie des eaux qui paye une redevance à la ville de Paris pour la remercier de la publicité qu'elle retire du traité...
Constant - Clément - Aubin Berthaut, né le Ier mars 1847, à Crécy-sur-Serre (Aisne), facteur ce pianos. Combattit l'Empire, fit partie de la garde nationale pendant le siège et devint un combattant de la Commune des plus résolus. ...
Editeur: [s.n.] (Paris)
...qu'en 1900. Conseiller sortant, M. Constant-ClémenT Berthaut, né à Crécy-sur-Serre (Aisne) le 1" mars 1847, facteur de pianos, socialiste révolutionnaire,...(Crécy-sur-Serre (Aisne) - 1847)
samedi 10 décembre 2011
LA MACHINE à DONNER DES PAIRES DE CLAQUES, UNE PAR UNE, LES CLAQU
Il suffit de bien regarder dans le trou-la-i-tou... et PIf et PAf !
LE MECANISME INTERIEUR ETANT ABSOLUMENT, IRRESOLUMENT, INCROYABLEMENT ET MEME TOTALEMENT DIAVOLICKQUE.
vendredi 2 décembre 2011
RUE DU SOLEIL
PARIS XXème ARRONDISSEMENT
Un éclat, des reflets et une flaque de soleil sur le trottoir de la rue du Soleil à Belleville.Y A DU SOLEIL !
Y A DU SOLEIL !
Y A DU SOLEIL !
mercredi 30 novembre 2011
DE MORT NATURELLE
PETITS ARRANGEMENTS AVEC LES ASSASSINS
ENTRE L'EGLISE, L'ECOLE, LA GENDARMERIE
ET LA POMPE A ESSENCE.
C'est beau le linge sale, c'est beau quand on le lave en famille avec les anges du bizarre, les Anches dé Bèssare, oh.
Pendant ce temps une collègue me dit : des parents on mis leur gosse dans un sèche linge et là encore c'est bizarre mais il paraît qu'il est mort, Tibus. Je n'y crois pas.
Oscar W. disait plus ou moins, presque ceci : la vie ne serait pas complète et aboutie sans la mort.
C'était un drôle de type ce mec là, vraiment Bizzzzzz !
mardi 29 novembre 2011
LE BAR A SOURIRES
Le "Bar à Sourires" vous fait les dents en beiges, en jaunes, grises ou noires, en demi-deuil, en tons et demi-teintes, à la demande, sur nuancier, et ce :
POUR presque RIEN du TOUT & Pas Très Cher
Grâce à l'usage immodéré du thé, du café, du tabac, du vin rouge, de l'acide citrique, de la suie, etc.
dimanche 27 novembre 2011
Manuscrit trouvé : 23 AV JESUS-CHRIST, 75012 PARIS
ADRESSE AU DESTIN
LA PEUR DU SEIN DES SEINS
DU DERNIER JOUR
DE LA DERNIERE SEMAINE
DE LA DERNIERE ANNEE
DE LA DERNIERE DECENIE
DU DERNIER SIECLE
DE L'ANTEPENULTIEME MILLENAIRE
LA PEUR DU SEIN DES SEINS
DU DERNIER JOUR
DE LA DERNIERE SEMAINE
DE LA DERNIERE ANNEE
DE LA DERNIERE DECENIE
DU DERNIER SIECLE
DE L'ANTEPENULTIEME MILLENAIRE
ALORS QU'IL RESTE TANT A VIVRE
samedi 26 novembre 2011
ON A LES MORTS QU'ON PEUT
"Mimie" a disparu il y a deux jours, rue de la Palestine, près du M° Jourdain ; depuis quelques temps on ne la voyait plus sortir la tête de l'amas des couvertures. Elle qui se levait si promptement face aux contrôles policiers, droite dans ses bottes, mais oscillante comme un pendule, le regard droit, presque au garde-à-vous, poli, haut, ironique et bienveillant. Faire face, demander une cigarette, essuyer un refus l'air de dire : le pauvre, il n'a rien à fumer... Et cette tristesse impossible sur la peau du visage, ces larmes de sel déssalées, ces douces vagues amères dans le regard. Nombreux sommes-nous à avoir rêvé un destin moins douloureux pour elle... Elle nous faisait vivre, imaginer et réfléchir...
C'est parfois chiant la vie, surtout vers la fin.
vendredi 25 novembre 2011
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